Pierre Henry

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Browse Items (78 total)

  • apparitions concertees - Anne Rey - Pierre Henry dans le vif du son.pdf

    Texte pour l'exposition des affiches lacérées de Jacques Villeglé "Le grand mix", et la création musicale de Pierre Henry "Appartitions concertées", au Confort moderne, Poitiers, du 17 avril au 28 août 1999
    Date 1999
    Collection Textes
  • Orphee-article Carrefour - antoine Golea.pdf
  • Sahara d-aujourd-hui-Jean Delamotte-France soir.pdf
  • Nijinsky - Bejart.pdf
  • La Reine Verte - Bejart.pdf
  • Le Voyage - Bejart.pdf
  • Orphee - Bejart.pdf
  • Coexistence- Michel Chion.pdf
  • 2-Entité-texte Anne Rey.pdf

    "Le mot Entité pourrait ici s’écrire au pluriel. Car ces six petites minutes de comédie électronique donnent à entendre le dialogue de deux “êtres” bien distincts : l’un plus masculin, s’époumonant à des blablas de plus en plus éperdus ; l’autre, effilochée et languide, ronde et féminine, d’une présence plus voilée au second plan. C’est pourtant à elle que revient le dernier mot. Dans cette pièce est à nouveau prouvée la capacité de cette musique à fabriquer un (plusieurs) “objet considéré comme un être doué d’unité matérielle, alors que son existence objective n’est fondée que sur des rapports” (définition du terme “entité” dans le petit Robert). Contemporaine des Investigations sur les “vides” du peintre Jean Degottex, Entité, créée en 1959, était la contribution de Pierre Henry à un concert de musique contemporaine qu’il avait organisé lui-même et auquel participait notamment la cantatrice Cathy Berberian."
    Anne Rey (2002)
    Date 2002
    Collection Textes
  • Coexistence-Inestigations - Claude Riviere.pdf
  • Interieur- Exterieur - Anne Rey.pdf
  • apocalypse de jean - critique Seloron.pdf

    " Seul compte le déferlement magistral et les silences feutrés, l'architecture sonore et l'espace soudainement habité; comme si le monde, de l'infiniment petit à l'infiniment grand, se mettait à battre à des niveaux également audibles. "
    Date 1968
    Collection Textes
  • apocalypse de jean - critique de Nussac.pdf

    " Le "film" de l'Apocalypse passe devant les yeux avec un réalisme un peu naïf d'un tympan roman, le baroque d'un tableau de Bosch ou l'au-delà fantastique de Lovecraft ... C'est ainsi que la musique de Pierre Henry est plus vivante qu'intellectuelle. "
    Collection Textes
  • apocalypse de jean - critique Alain.pdf

    " Il y a de nombreuses pages dont l'horreur, la splendeur, ou la violence évoquent les plus extraordinaires images du film "2.001" en y ajoutant cet irrésistible pouvoir d'investissement de la sensibilité qui est le propre de la musique. "
    Collection Textes
  • apocalypse de jean - critique Poulin.pdf

    « Œuvre désarmante, déroutante, qu'on ne sait par quel bout prendre: c'est bien plutôt elle qui nous prend, qui nous subjugue, nous arrache à nous-même. Aussi mystérieuse, aussi obscure que le texte qu'elle illustre, cette musique en a cependant la beauté éblouissante, la force dramatique, la violence poétique ... Toute comparaison avec une musique existante - fût-ce celle d'un Penderecki - devient bientôt impossible, absurde. Cet assemblage savant de sons est un monde en soi, palpitant, cohérent, et si fascinant qu'on ne peut à son propos parler d'imitation, ni d'illustration de texte; monde de symboles suggestifs dans leur géniale transposition. »
    Date 1968
    Collection Textes
  • apocalypse de jean - critique Hamon.pdf

    " La réussite polyphonique de cette illustration poétique des visions de l'apôtre tient du plus merveilleux environnement sonore qui se puisse rêver. Et puis une émotion profonde, humaine, captivante informe constamment cet oratorio électronique, un sens grandiose de la tragédie de l'homme, de sa rédemption possible, le porte à l'étage de l'universel et du permanent. Cette œuvre nous concerne, nous le sentons d'instinct, nous en subissons l'influx, la quête, l'élan. Pierre Henry le solitaire n'est plus seul alors. Il tient le monde dans ses filets et nous, captifs, grouillants, scintillons à sa lumière. "
    Collection Textes
  • apocalypse de jean - critique Schneider.pdf

    " La célèbre révélation de Saint Jean a trouvé en Pierre Henry un commentateur inspiré : pour traduire la grandeur visionnaire de ce texte et sa grâce terrible, la musique électronique offre plus d'avantages que l'orchestre traditionnel. Elle dispose aussitôt l'esprit à voir l'invisible et à entendre l'inouï... L'ensemble présente beaucoup d'unité, de grandeur, une sorte d'horreur sacrée et produit une impression vive et originale. "
    Date 1968
    Collection Textes
  • apocalypse de jean - critique Cadieu.pdf

    « L'Apocalypse de Jean s'apparente en beauté méditative, en violence, en complexité timbrique, au "Voyage" de Pierre Henry. Rythmes aussi étonnants qui vous roulent comma la vague. Lyrisme toujours abrupt avec d'atroces douceurs et de tendres meurtres, toujours dans les paroxysmes des couleurs crispées, mais toujours aussi dans ce long, interminable respir qui porte et jette au creux des abimes, qui hausse et fait planer, qui inquiète, oui, toujours ... Les figures bizarres, les" yeux partout ", le surréalisme du texte trouvent la voix exacte dans cette musique. L’Orient, l'Asie, le Moyen Age sont broyés dans cette œuvre. Pierre Henry est un créateur, un poète. Comme les prophètes, il a ses délires. »
    Collection Textes
  • apocalypse de jean - critique Lonchampt.pdf

    "Qu'elle choque ou agace, cette œuvre s'imposera cependant à tout auditoire sans idées préconçues, par la splendeur du texte, ainsi que par l'interprétation de Jean Négroni, d'un simple, grandiose et authentique lyrisme, et par la force captivante de la musique. Les longues pédales graves et harmonieuses où se pose la méditation, les appels d'oiseaux mélancoliques, les concerts frénétiques de clochettes tibétaines, les nombreuses séquences visionnaires aussi superbes par le matériau que par l'invention rythmique et formelle, les cataclysmes évitant toute imitation primaire, les contrepoints, chœurs ou canons faits à partir de la voix, les évocations d'une intense beauté, comme celle de Babylone, qui s'achève en une sorte de paroxysme imprécatoire, avant do céder la place à la nudité parfaite ces derniers mots du poème … C’est une œuvre contemplative et même mystique, car, à travers le poème, c'est quelque chose du "mystère" qui est saisi. "
    Date 1968
    Collection Textes
  • LA NOIRE A SOIXANTE - Fleuret.pdf
  • Granulometrie-Anne Rey.pdf
  • Fantasia - Chion.pdf

    Morceau tiré du Microphone bien tempéré qui regroupe en 1950 un ensemble ouvert de quinze courtes pièces d’exploration et de démonstration des possibilités instrumentales de la musique concrète. Les sons de provenance instrumentale, joués par le compositeur, y tiennent la vedette : le piano préparé en tête, et derrière lui, les percussions. La Fantasia est aussi une musique-voyage, débutant dans un beau climat d’orage et de pluie, intéressante pour son époque par ses recherches d’amalgame et de fusion orchestrale entre des matériaux variés, loin du contrepoint limpide et classique de la Symphonie pour un homme seul.
    Collection Textes
  • Micro rouge I et II - Chion.pdf

    Morceaux tirés du Microphone bien tempéré qui regroupe en 1950 un ensemble ouvert de quinze courtes pièces d’exploration et de démonstration des possibilités instrumentales de la musique concrète. Les sons de provenance instrumentale, joués par le compositeur, y tiennent la vedette : le piano préparé en tête, et derrière lui, les percussions. Ces deux Micros rouges , à base de sons de percussions, relèvent de ce que nous appelons une « musique d’aveugle », qu’on dirait créée par un homme qui se cogne dans le noir à toutes sortes de corps résonnants, qu’il tâte du bout de son micro. Le premier Micro rouge est fait d’ondes oscillantes déclenchées comme par hasard dans toutes les directions de l’espace et il est audacieusement informel, sans thème, sans rythmicité, sans évolution. Le second déroule des passages qui fuient, comme vus d’un train, dans un voyage fantomatique qui fait traverser des villes carillonnantes et où rôdent des populations étranges, à peine discernables. Cet art du clair-obscur, pour transcrire le fugitif, le passager, évoque les films muets de Murnau ou d’Abel Gance.
    Collection Textes
  • Dimanche noir 1 et 2 - Chion.pdf

    Morceaux tirés du Microphone bien tempéré qui regroupe en 1950 un ensemble ouvert de quinze courtes pièces d’exploration et de démonstration des possibilités instrumentales de la musique concrète. Les sons de provenance instrumentale, joués par le compositeur, y tiennent la vedette : le piano préparé en tête, et derrière lui, les percussions. Ces deux fascinants Dimanches noirs (qui reprennent le titre d’une composition pour piano de jeunesse) sont basées sur des transmutations de thèmes instrumentaux traditionnelles (Scarlatti, Eddie Warner) qui sont comme dilués, englués dans des matières acoustiques liquides, visqueuses, informelles. Il y a là tout un art de reconstitution d’ambiances oubliées, ramenées d’un temps lointain, de dimanches pluvieux dans un climat étonnamment tangible d’attente, d’ennui et d’enfance mêlées, comme une vieille photo où s’est imprimée l’odeur du passé.
    Collection Textes
  • Tam Tam I à IV - Chion.pdf

    Morceaux tirés du Microphone bien tempéré qui regroupe en 1950 un ensemble ouvert de quinze courtes pièces d’exploration et de démonstration des possibilités instrumentales de la musique concrète. Les sons de provenance instrumentale, joués par le compositeur, y tiennent la vedette : le piano préparé en tête, et derrière lui, les percussions. Les pièces du recueil intégral où l’instrument manipulé tient la première place sont la plupart du temps des galops rythmiques à la Bartok. Nous en retenons surtout les quatre Tam-Tams, pour leur puissance orchestrale (l’instrument étant agrandi et multiplié par la manipulation, et se transformant en usine à sons géante), et pour la beauté des perspectives spatiales que l’on y traverse, en de grands travellings auriculaires très cinématographiques. Ces œuvres nous séduisent par une qualité d’atmosphère très brutale et contrastée, un sens de la catastrophe et de la grandeur qui semble manquer encore de moyens techniques pour se déployer.
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