Pierre Henry

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Parcourir les contenus (78 au total)

  • 1950-01-deux coups de sonnette- manuscrit.pdf

    Texte écrit pour un projet radiophonique non abouti, et qui a inspiré "Une maison de sons "[1989] et "2 coups de sonnette " [2005]
    Date 1950
    Collection Textes
  • La Dixieme de Beethoven - texte Weyergans.pdf

    Date 1979
    Collection Textes
  • Dieu, Victor Hugo, Pierre Henry

    Adaptation du texte inachevé de Victor Hugo par Pierre Henry, pour la création du théâtre sonore Dieu.
    Collection Textes
  • Créé il y a quinze ans « chez lui 2 », dans sa « maison de sons », à Paris (2002), le Dracula électro de Pierre Henry se voulait comme un « film sonore » sans images, mais guidé par des souvenirs des films d’épouvante, en particulier ceux de Terence Fisher et « le Nosferatu de Murnau, subjugué par la splendeur de son noir et blanc et le mystère de ses intertitres. » Fidèle partenaire du sculpteur de sons, le Théâtre de l’Athénée a eu la bonne idée de l’associer à ses artistes en résidence, Le Balcon et son chef Maxime Pascal, tous deux pratiquant le son amplifié. Puisque l’orchestre de la Tétralogie de Wagner avait été sur-vitaminé par Pierre Henry pour Dracula, pourquoi ne pas proposer une version mixant l’original de la bande électroacoustique et un orchestre live, d’une vingtaine de musiciens ? Adapté par Othman Louati (compositeur) et Augustin Muller (réalisateur informatique), voilà donc Dracula qui change de main, ou plutôt de peau. Les coups de ciseaux dans la mélodie wagnérienne, comme les multiples procédés de transformation et d’altération chers au compositeur, mixés au fantastique des bruits de la nature (orage, pluie, cris d’animaux), se parent d’un nouvel habit, grâce à cet orchestre qui, toutes ailes déployées, soulève une harmonie robuste, rehaussée de percussion, d’un violoncelle et d’un piano. Beaucoup de poésie du côté des vents, qui s’évertuent à faire chanter le leitmotiv wagnérien tant bousculé, tandis que le son concret renforce le mystère, avec ses cris d’épouvante issus du Grand-Guignol et sa cohorte de grincements sinistres. Une fois encore, Maxime Pascal, grand ordonnateur de cette messe sauvage, triomphe au pupitre du Balcon qui, en réunissant au sein de son collectif des artistes venus d’horizons divers, se situe dans la descendance des Catalans de La Fura dels Baus. Ni Wagner ni Pierre Henry n’étaient trahis ce soir-là, bien au contraire… mais délicieusement vampirisés.
    Collection Textes
  • Homme a la camera - francois Albera.pdf

    Date 1994
    Collection Textes
  • 1982-07-21-Gens-qui-pleurent-et-Pierre-Henry-liberation-paradis-perdu-221.pdf
  • Granulométrie

    Texte du livret du coffret Mix Pierre Henry 01.0
    Date 1999
    Collection Textes
  • Journal de mes sons

    Le manuscrit original du Journal de mes sons, établi en 1979 d'après des entretiens avec Anne Rey, est paru une première fois en 1996 aux éditions Séguier. Il est réédité aux éditions Actes Sud en 2004.
    Collection Textes
  • Journal de mes sons

    Nouvelle édition d'un texte essentiel de 1979 pour cerner la pensée de Pierre Henry : une biographie musicale au sens du journal intime et de l'autobiographie.
    Il s’agit d’un livre augmenté d’une écoute. Plus qu’une lecture, c’est aussi la version musicale de trente-cinq séquences du ‘Journal de mes sons’ , qui dans sa version française est lu par Florence Delay.
    Traduit en anglais pour la première fois par Christine North & John Dack.

    Date 2023
    Collection Textes
  • 2008-03-PLEINS-JEUX-Anne Rey-progr.pdf

    Date 2008
    Collection Textes
  • Instantanés-Simultanés-Le Monde de la musique-oct.78.pdf

    article - page 35 - sur Instantané-Simultané au Palais des arts à Paris en Octobre 1978.
    Date 1978
    Collection Textes
  • La maison de sons de Pierre Henry

    Réalisé conjointement par le photographe norvégien Geir Egil Bergjord et Pierre Henry, ce livre invite à pénétrer dans la maison du quartier de Picpus à Paris où le compositeur s’est établi depuis 1971 et à parcourir pièce après pièce cet endroit magique, une « maison de sons » tout à la fois lieu de vie, laboratoire musical et atelier d’artiste. Sur tous les murs, dans les escaliers, la cuisine, la bibliothèque ou la chambre à coucher court une multitude d’objets et de « peintures concrètes », écho ou contrepoint plastique aux pièces sonores en gestation. Un univers.
    Collection Textes
  • ceremony-Jean-Cotte.pdf

    Critique de presse du concert couché du 8 mai 1970
    Date 1970
    Collection Textes
  • 1978-LE-MICROPHONE-BIEN-TEMPERE-LP-texte-Chion.pdf

    Texte inclus à l'intérieur de la pochette du LP Le microphone bien tempéré
    Date 1978
    Collection Textes
  • 1991-12-19-Le-Monde-Les-tam-tams-de-la-liberte-Anne-Rey.pdf

    Date 1991
    Collection Textes
  • livre Pierre Henry de Michel Chion

    Actualisant un ouvrage paru pour la première fois en 1980, cette nouvelle édition retrace plus de cinquante ans dans la carrière d?un des plus célèbres compositeurs français du siècle. Associé par le fondateur de la musique concrète, Pierre Schaeffer, aux premiers pas du genre, en 1949, Pierre Henry n?a cessé depuis de donner à cette musique un souffle et une ambition qu?on ne lui soupçonnait pas au départ, en construisant un ensemble colossal et varié d?oeuvres qui continuent de toucher tous les publics et toutes les générations. Si ses collaborations avec Maurice Béjart (Le Voyage, La Messe pour le temps présent) ont aidé à faire connaître son nom, et s?il fut un des premiers musiciens (dès les années 60) à travailler avec des peintres et des plasticiens, il est aussi un créateur fécond d?oeuvres pour le concert et le disque, qui n?hésitent pas à s?attaquer aux grands thèmes ? la vie biologique, la mort, le sacré, la place de l?homme sur la terre ?, parfois en « collaboration » posthume avec Jean l?Evangéliste ou Victor Hugo, voire avec Beethoven. Il a aussi créé un « son » aussi personnel et reconnaissable que ceux des plus fameux musiciens de jazz, et imposé un univers d?une ampleur cosmique, un véritable monde où l?archaïque et le mythique côtoient le familier, et qui chante les émerveillements, les espoirs et les hantises de notre époque.
    Collection Textes
  • Pierre Henry  : Le son, la nuit

    Pierre Henry (1927-2017), pionnier des musiques électroniques, retrace l’ensemble de son œuvre dans ces entretiens menés par Franck Mallet entre 1995 et 2016 : des objets sonores de son enfance à la naissance de la musique concrète dans le Paris d’après-guerre, des premiers opus au succès de Messe pour le temps présent, sans compter ses innombrables collaborations avec des chorégraphes, cinéastes, écrivains, plasticiens... Explorateur insatiable de nouvelles sensations musicales, œuvrant nuit et jour sur ses consoles et dans le dédale de ses archives sonores pour faire vivre le son «éternellement», Pierre Henry laisse une marque indélébile dans l’histoire de la musique.
    Collection Textes
  • Interieur-exterieur-F-Mallet-.pdf

    Article sur Intérieur Extérieur dans le cadre des premières soirées “Pierre Henry chez lui” :
    Date 1997
    Collection Textes
  • apparitions concertees - Anne Rey - Pierre Henry dans le vif du son.pdf

    Texte pour l'exposition des affiches lacérées de Jacques Villeglé "Le grand mix", et la création musicale de Pierre Henry "Appartitions concertées", au Confort moderne, Poitiers, du 17 avril au 28 août 1999
    Date 1999
    Collection Textes
  • 1963-07-03-Le-Monde-variations-pour-une-porte-et-un-soupir-Longchampt.jpg
  • catalogue Pierre Henry l œuvre

    Ce catalogue de 396 pages est conçu de façon chronologique, par périodes et par studios. Il donne à voir, à travers les notices de chaque pièce et ses corollaires, la progression technique et le foisonnement créatif de cette recherche insatiable, source d'une œuvre ouverte et infinie.
    Le catalogue a reçu le Prix du Jury France Musique-Claude Samuel 2022.

    Sommaire
    Laurent Bayle : Pierre Henry
    Sabrina Valy : Ici commence le livre
    Cyrille Delhaye : Un répertoire d’œuvres et de sons
    Pierre Henry : Mes 263 titres de boucles préférées

    Avant 1949 1927–1949
    Studio d’essai 1949–1958
    Studio zéro 1958–1959
    Apsome 1 1959–1964
    Apsome 2 1964–1971
    Apsome 3 1971–1982
    Son/Ré 1982–1996
    Maison de sons 1996–2017

    Listes par genre
    Musique de ballet
    Musique de chambre et œuvres pour piano
    Œuvres de concert
    Musique composée pour le disque
    Musique pour catalogue dramatique et de stock
    Musique de film
    Films dont la bande sonore comprend des œuvres préexistantes de Pierre Henry
    Musique pour plasticien
    Musique publicitaire
    Musique radiophonique
    Musique de scène
    Musique urbaine
    Travaux alimentaires
    Ébauches et projets d’œuvres
    Index des œuvres
    Index des personnes
    Sources des textes
    Remerciements
    Collection Textes
  • Carnet de venise - texte weyergans.pdf

    Date 2002
    Collection Textes
  • 2002-PH-Nantes-anne-rey-phrases-de-quatuor.pdf
  • J-LONCHAMPT-1970-05-10.pdf

    Pour l'ouverture du Mai culturel de Malakoff, Pierre Henry a repris vendredi la formule du « concert au sol », inaugurée il y a deux ans et demi au SIGMA de Bordeaux. Dans l'immense gymnase René-Rousseau, aux courbes tendues en arcs vers une grande baie lumineuse, les auditeurs, très nombreux, sont assis ou couchés à même le sol, libres d'aller et venir au gré de leur écoute de ce monde sonore, pétri par une multitude de hautparleurs.
    Quelques timides essais de chahut sont promptement effacés par Gymkhana (création mondiale), admirable tapisserie sonore où l'on est pris d'emblée par 1'« espace temporel » de Pierre Henry : les percussions mystérieuses (celles de La Noire à soixante) tombent et résonnent dans le silence, les notes de flûte, de hautbois, s'éparpillent lentement ou bien se marient en des points d'orgue sans fin; et l'on est pris par le mouvement de ces constellations qui tournent lentement en des polyphonies de rythme asymétrique d'une subtilité et d'une force très neuves, même si la dernière séquence où s'échelonnent les tubas d'un contrepoint un peu trop serré parait plus contestable.
    On retrouvait ensuite la Messe de Liverpool, où le travail lettriste et la monotonie des psalmodies sépulcrales gardent un caractère trop volontaire qui cependant ne doit pas cacher une certaine force explosive du langage avec, dans ces dissections et éructations, comme une recherche de la violence originale du Kyrie grec ou du Sanctus juif.
    Enfin Ceremony III déployait son effrayante puissance sonore et les grandes incantations de Spooky Tooth, dégagées des interludes souvent interminables qui les noyaient à l'Olympia. Celles-ci prennent une force rituelle plus intense dans leur mariage de pop'music et d'expression religieuse spontanée, à la manière des spirituals, auquel les « procédés » et inventions électroniques de Pierre Henry donnent une frappe souvent admirable.
    Collection Textes
  • Pour-penser-a-une-nouvelle-musique-PH.pdf

    Il faut détruire la musique. Elle ne correspond plus à rien pour nous dans la mesure où elle doit être HARMONIE DES SPHÈRES. Dans la mesure où le sacré s’est transporté de l’Absolu jusque dans la vie elle-même, la musique doit se transporter de la sphère de l’art (musicalement parlant) dans le domaine de l’angoisse sacrée.

    Si les conventions musicales, l’harmonie, la composition, les règles, les nombres, le côté mathématique et les formes avaient un sens par rapport à un Absolu, aujourd’hui la musique ne peut en avoir que par rapport aux cris, au rire, au sexe, à la mort. Tout ce qui nous met en communication avec le cosmique, c’est-à-dire avec la matière vivante des mondes en feu. Il faut prendre immédiatement une direction qui mène à l’organique pur. A ce point de vue, la musique a été beaucoup moins loin que la poésie ou la peinture. Elle n’a pas encore osé se détruire elle-même pour vivre. Pour vivre plus fort comme le fait tout phénomène vraiment vivant. Cela ne veut pas dire : écarter toute règle, toute rigueur ou toute forme, mais pas d’autres règles que celles visant à l’efficacité. Je crois que l’appareil enregistreur est actuellement le meilleur instrument du compositeur qui veut réellement créer par l’oreille et pour l’oreille. Si nous voulons lutter contre la mécanique, il faut employer des méthodes mécaniques, ainsi la machine se retournera contre elle-même. Un son enregistré est instantanément détruit en tant que machine.
    Le Mythe du Moderne n’existe plus. Les bruits seront supprimés. Ils deviendront désincarnés, désignifiés et comme sacralisés.
    Alors ce sera peut-être la musique concrète, la musique du VIVANT et du SOLEIL.
    Date 1947
    Collection Textes
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