Pierre Henry

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Parcourir les contenus (69 au total)

  • 2000-Pierres-reflechies-texte-anne-rey.pdf

    Date 2000
    Collection Textes
  • 2004-texte-PH-preface-manifestes-Journal-de-mes-sons-Futuristie.pdf

    Premier texte des "Préfaces et Manifestes", dédiés à la mémoire de Félix Passeronne, qui a enseigné à Pierre Henry l'art des percussions au Conservatoire national de Paris.
    Date 2004
    Collection Textes
  • 2011-PQE-MACHART-TEXTE.pdf

    Date 2017
    Collection Textes
  • 1968-06-texte-M-Fleuret-Realites.pdf

    Date 1968
    Collection Textes
  • 2008-BERLIN-FRENCH-Guardian-blog-obervermusic.pdf

    Traduction de l'article au sujet du concert de Pierre Henry le 25 janvier 2008 dans le cadre du festival CTM (Club Transmediale Festivale) à la Volksbühne à Berlin.
    Date 2008
    Collection Textes
  • 2008-03-PLEINS-JEUX-Anne Rey-progr.pdf

    Date 2008
    Collection Textes
  • 2002-PH-Nantes-anne-rey-phrases-de-quatuor.pdf
  • 1991-12-19-Le-Monde-Les-tam-tams-de-la-liberte-Anne-Rey.pdf

    Date 1991
    Collection Textes
  • 1963-07-03-Le-Monde-variations-pour-une-porte-et-un-soupir-Longchampt.jpg
  • 1953-VOILE-D-ORPHEE-I-Michel-Chion.pdf

    Œuvre bouillonnante et inspirée d’un compositeur de vingt-six ans, Le Voile d’Orphée se fit d’abord connaître comme le final du ballet Orphée de Béjart, puis s’imposa comme une musique à part entière. Dans la musique électroacoustique, elle représente la première œuvre de caractère orchestral, avec dans les durées et les masses sonores une ampleur jusqu’alors inconnue, et aussi une générosité d’inspiration poussant l’auteur à abandonner toute retenue pour libérer ses démons intérieurs : étirement extrême et presque douloureux de la durée, cris éperdus lances à la face d’un Zeus qui se tait, jubilation du fracas et de la catastrophe.
    Collection Textes
  • Granulométrie

    Texte du livret du coffret Mix Pierre Henry 01.0
    Date 1999
    Collection Textes
  • Victor Hugo, Dieu et Pierre Henry

    Textes écrits par Brigitte et Jean Massin pour le programme du spectacle "Dieu" donné au Palais des Arts à Paris du 26 septembre au 28 octobre 1978.
    Date 1978
    Collection Textes
  • 1950-01-deux coups de sonnette- manuscrit.pdf

    Texte écrit pour un projet radiophonique non abouti, et qui a inspiré "Une maison de sons "[1989] et "2 coups de sonnette " [2005]
    Date 1950
    Collection Textes
  • Une phrase d’ltalo Calvino, « L’imagination est un lieu où il pleut » cerne assez bien l’effet jubilatoire provoqué par ce fragment inédit. L’Eau : une œuvre où il pleut beaucoup en effet, et où l’imagination est au pouvoir. Couronnement d’une Hugosymphonie longue de cinq heures, créée pour le centenaire de la mort du poète en décembre 1985, ce fragment est un tout. A prendre ou à laisser. De ces machines au moteur gonflé, dont on ne descend qu’après arrêt complet. Un morceau de bravoure, donc, où l’artisanat au zénith se met au service d’idées incongrues, cocasses, presque drolatiques. Un suspense haletant à partir d’une simple goutte d’eau et de sa petite musique. Un régal d’inventions et de maîtrise technique. Couleurs irisées de l’orchestration. Régularité implacable du rythme (la goutte d’eau s’écoulant imperturbablement au premier plan). Progression irrésistible par amplification de la masse sonore et complexification des fonds en mouvement, jusqu’au dénouement, forcément jaillissant. On pense – mais oui ! – à Maurice Ravel et à son génial Boléro. Outre notre petite goutte et ses innombrables doubles apparaissent, en ordre de volumes croissant, bulles et glouglous, pluies, jets, maelstroms, chutes du Niagara. L’auteur a baladé des micros dans toute sa maison pour capter tout ce qui coule, avant de remaquiller ses sons par grossissements et réverbérations. Mis en perspective, ils construisent un espace cohérent, cadré une fois pour toutes, à l’arrière du clip-clap en gros plan. Actrice principale, la petite goutte est aussi le sablier du temps dans un déroulement d’évènements non anecdotiques, solidement soudés par des liaisons et des points de suspension. C’est le rôle alloué à des sons électroniques, matières fluides et toujours en mouvement qui, dans le grave, résonnent à mi-parcours comme des trombones et qui se répandent paresseusement, comme des montres molles. La forme répétitive était déjà celle de Spirale, quatre minutes et vingt-deux secondes d’expansion continue jaillies d’un trait, dans les années 50. C’est peu dire qu’elle a trouvé ici son épanouissement. Et comme toujours, l’auditeur a le choix de son imagerie intérieure. Affaire de plomberie ? Montée du désir ? Grands chantiers aquatiques ? « De l’eau intériorisée », répond l’auteur.
    Date 2001
    Collection Textes
  • la grande apocalypse - Anne rey - Le Monde - 1990-12-22 - PHBR 86 .pdf

    Révision, vingt-deux ans après, d'une œuvre clé du répertoire électroacoustique
    Le musicien " concret ", celui qui travaille sur des sons enregistrés, stockés, puis coupés-collés, a d'évidentes parentés avec le cinéaste. Compositeur " concret " (le premier à l'avoir été avec Pierre Schaeffer), Pierre Henry a travaillé pour le cinéma (musiques pour Grémillon, pour la publicité et, tout récemment, pour Berlin, symphonie d'une grande ville, de Walter Ruttmann (1). Il est un assidu des salles obscures : de Bresson à Spielberg, l'image montée l'inspire.
    C'est peut-être pour cela que Pierre Henry offre aujourd'hui, sur le modèle des " versions longues " du Grand bleu ou de Lawrence d'Arabie, la " version grande " d'une de ses œuvres anciennes, cette Apocalypse de Jean dont la gestation commença dès 1960, dont la création, lors d'une soirée-marathon, reste inscrite dans les souvenirs de 1968, dont la version originale a été fixée sur disques numériques (2), et dont la version définitive a été créée le 18 décembre à l'Auditorium des Halles, commande du Festival d'art sacré.
    Un saut qualitatif
    La ressemblance avec le cinéma s'arrête là. Car cette " grande" Apocalypse n'a pas été fabriquée avec des chutes recyclées ; elle n'a rien d'un travail de restauration ; c'est bien de révision qu'il s'agit : les séquences ajoutées _ certain Passage de grenouilles particulièrement coassant ; un beau portrait sonore de Jérusalem _ ont été composées cette année. Toute la fin du récit biblique, à partir de l'Agneau, a d'autre part été remaniée. Les visions horrifiées, pétrifiées, grotesques, grinçantes, qui autrefois dominaient dans l'Apocalypse, se trouvent ainsi contrebalancées désormais par l'espoir de tendresse et de vie que constitue l'ultime Fleuve d'eau vive. Dans son minutage global, l’œuvre reste inchangée.
    Par son nouveau dispositif scénique, elle subit néanmoins un saut qualitatif. La prophétie de Jean est mise, maintenant comme autrefois, dans la bouche d'un récitant. Mais, entièrement enregistrée dans la version de 1968, la voix de Jean Négroni avait alors deux fonctions. D'une part, elle énumérait, sur le ton de la narration, le titre des séquences, la nature des fléaux promis par le prophète ; nimbée d'écho, amplifiée, mêlée aux sons concrets, elle servait d'autre part d'élément dramatique en soi, de parole musicalisée.
    La « grande » Apocalypse en rajoute de ce côté. Elle fait s'affronter le Négroni enregistré il y a vingt-deux ans et le Négroni d'aujourd'hui, en scène, mêlant au micro sa voix de récitant survivant à ses voix enregistrées d'antan. Changés en monstrueuses marionnettes, sous les voiles noirs des Bread and Puppett, les haut-parleurs participent à leur façon - immobile, mais pas muette - à cette théâtralisation.
    Monstrueuses marionnettes
    La Grande, l'Apocalypse impose donc désormais ses lumières, ses images, son personnage principal. On pouvait la préférer «petite» : pure musique, théâtre pour l'esprit. Moins grandiloquente, moins équilibrée, moins spectaculaire, moins écrasée par la présence du verbe.
    Rappelons que le musicien s'était amusé, dans un Livre des morts égyptien, créé l'an dernier, à composer « à l'ancienne» sur du matériel ultramoderne. Réalisé dans les studios de !'IRCAM, enregistré dans la foulée en toute fidélité numérique, disponible désormais sur CD (3), ce Livre magnifique pourrait être l'accompagnement désigné pour l'exposition « Mémoire d’Égypte » présentée actuellement à la Bibliothèque nationale ( dont le fond sonore laisse à désirer). Distribuée en sept «moments», l’œuvre reflète parfaitement, dans une accumulation de sons machiniques et industriels, le passage par étapes forcées de la mort à la vie éternelle, tel qu'on le voit représenté sur les papyrus. Pierre Henry s'y souvient opportunément de son lointain passé de percussionniste, des rythmes jazzés qu'il aimait dans les années 50, du piano préparé sur lequel il improvisait : d'un passé en partie antérieur à ses premières productions de musicien concret (4).
    ANNE REY
    (1) On reverra ce film muet de 1927, assorti de sa musique originale pour deux pianos et deux percussions (signée Edmund Meisel) les 30 et 31 janvier à !'Auditorium du Louvre, dans le cadre d'une série « Cinéma muet en concert».
    (2) L 'Apocalypse de Jean, version originale : deux disques compacts Philips.
    (3) Le Livre des morts égyptien : un CD Mantra-Votre musique.
    (4) A paraître en janvier : Mes années50, soit les œuvres composées de l'après-guerre à 1960, aux trois quarts inédites (trois CD Mantra-Votre musique).
    Date 1990
    Collection Textes
  • Créé il y a quinze ans « chez lui 2 », dans sa « maison de sons », à Paris (2002), le Dracula électro de Pierre Henry se voulait comme un « film sonore » sans images, mais guidé par des souvenirs des films d’épouvante, en particulier ceux de Terence Fisher et « le Nosferatu de Murnau, subjugué par la splendeur de son noir et blanc et le mystère de ses intertitres. » Fidèle partenaire du sculpteur de sons, le Théâtre de l’Athénée a eu la bonne idée de l’associer à ses artistes en résidence, Le Balcon et son chef Maxime Pascal, tous deux pratiquant le son amplifié. Puisque l’orchestre de la Tétralogie de Wagner avait été sur-vitaminé par Pierre Henry pour Dracula, pourquoi ne pas proposer une version mixant l’original de la bande électroacoustique et un orchestre live, d’une vingtaine de musiciens ? Adapté par Othman Louati (compositeur) et Augustin Muller (réalisateur informatique), voilà donc Dracula qui change de main, ou plutôt de peau. Les coups de ciseaux dans la mélodie wagnérienne, comme les multiples procédés de transformation et d’altération chers au compositeur, mixés au fantastique des bruits de la nature (orage, pluie, cris d’animaux), se parent d’un nouvel habit, grâce à cet orchestre qui, toutes ailes déployées, soulève une harmonie robuste, rehaussée de percussion, d’un violoncelle et d’un piano. Beaucoup de poésie du côté des vents, qui s’évertuent à faire chanter le leitmotiv wagnérien tant bousculé, tandis que le son concret renforce le mystère, avec ses cris d’épouvante issus du Grand-Guignol et sa cohorte de grincements sinistres. Une fois encore, Maxime Pascal, grand ordonnateur de cette messe sauvage, triomphe au pupitre du Balcon qui, en réunissant au sein de son collectif des artistes venus d’horizons divers, se situe dans la descendance des Catalans de La Fura dels Baus. Ni Wagner ni Pierre Henry n’étaient trahis ce soir-là, bien au contraire… mais délicieusement vampirisés.
    Collection Textes
  • apparitions concertees - Anne Rey - Pierre Henry dans le vif du son.pdf

    Texte pour l'exposition des affiches lacérées de Jacques Villeglé "Le grand mix", et la création musicale de Pierre Henry "Appartitions concertées", au Confort moderne, Poitiers, du 17 avril au 28 août 1999
    Date 1999
    Collection Textes
  • Orphee-article Carrefour - antoine Golea.pdf
  • Sahara d-aujourd-hui-Jean Delamotte-France soir.pdf
  • Nijinsky - Bejart.pdf
  • La Reine Verte - Bejart.pdf
  • Le Voyage - Bejart.pdf
  • Orphee - Bejart.pdf
  • Coexistence- Michel Chion.pdf
  • 2-Entité-texte Anne Rey.pdf

    "Le mot Entité pourrait ici s’écrire au pluriel. Car ces six petites minutes de comédie électronique donnent à entendre le dialogue de deux “êtres” bien distincts : l’un plus masculin, s’époumonant à des blablas de plus en plus éperdus ; l’autre, effilochée et languide, ronde et féminine, d’une présence plus voilée au second plan. C’est pourtant à elle que revient le dernier mot. Dans cette pièce est à nouveau prouvée la capacité de cette musique à fabriquer un (plusieurs) “objet considéré comme un être doué d’unité matérielle, alors que son existence objective n’est fondée que sur des rapports” (définition du terme “entité” dans le petit Robert). Contemporaine des Investigations sur les “vides” du peintre Jean Degottex, Entité, créée en 1959, était la contribution de Pierre Henry à un concert de musique contemporaine qu’il avait organisé lui-même et auquel participait notamment la cantatrice Cathy Berberian."
    Anne Rey (2002)
    Date 2002
    Collection Textes
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