Pierre Henry

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Parcourir les contenus (69 au total)

  • Carnet de venise - texte weyergans.pdf

    Date 2002
    Collection Textes
  • Une tour de Babel-Anne Rey.pdf

    Date 1999
    Collection Textes
  • La Xeme symphonie-anne rey.pdf
  • Interieur-exterieur-F-Mallet-.pdf

    Article sur Intérieur Extérieur dans le cadre des premières soirées “Pierre Henry chez lui” :
    Date 1997
    Collection Textes
  • Homme a la camera - francois Albera.pdf

    Date 1994
    Collection Textes
  • Instantanés-Simultanés-Le Monde de la musique-oct.78.pdf

    article - page 35 - sur Instantané-Simultané au Palais des arts à Paris en Octobre 1978.
    Date 1978
    Collection Textes
  • instantané-Simultané- matin de Paris-octobre1978.pdf

    article sur Instantané-Simultané au Palais des arts à Paris en Octobre 1978.
    Date 1978
    Collection Textes
  • La Dixieme de Beethoven - texte Weyergans.pdf

    Date 1979
    Collection Textes
  • Le livre des morts égyptien- Franck Mallet.pdf
  • Cortical art III-Anne REY.pdf
  • ceremony-Jean-Cotte.pdf

    Critique de presse du concert couché du 8 mai 1970
    Date 1970
    Collection Textes
  • Gymkhana-M-Cadieu.pdf

    Gymkhana est une oeuvre sans la moindre complaisance, qui ne cherche pas une minute à plaire Ou à envoûter par l'obstination dynamique. Dépouillée, rigoureuse, elle est un très bel exemple de ce qu'un maître dans l'art des sons électroniques peut construire. Economie de moyens et prodigieuse invention ; contrepoint de rythmes raffinés, complexes, sonorités très pures…
    L'adresse de Pierre HENRY, sa légèreté, sa maîtrise dans son travail sont éblouissantes. L'oeuvre est assez brève; bien qu'abstraite, elle a un rayonnement; la clarté des douze flûtes, des huit hautbois, la voix très grave, profonde, des cinq tubas, le jeu vigoureux ou feutré des sept tambours, ont ici une grande présence. On lit dans Gymkhana une démarche intérieure vers une ascèse.
    Date 1970
    Collection Textes
  • Gymkhana-C-Rostand.pdf
  • J-LONCHAMPT-1970-05-10.pdf

    Pour l'ouverture du Mai culturel de Malakoff, Pierre Henry a repris vendredi la formule du « concert au sol », inaugurée il y a deux ans et demi au SIGMA de Bordeaux. Dans l'immense gymnase René-Rousseau, aux courbes tendues en arcs vers une grande baie lumineuse, les auditeurs, très nombreux, sont assis ou couchés à même le sol, libres d'aller et venir au gré de leur écoute de ce monde sonore, pétri par une multitude de hautparleurs.
    Quelques timides essais de chahut sont promptement effacés par Gymkhana (création mondiale), admirable tapisserie sonore où l'on est pris d'emblée par 1'« espace temporel » de Pierre Henry : les percussions mystérieuses (celles de La Noire à soixante) tombent et résonnent dans le silence, les notes de flûte, de hautbois, s'éparpillent lentement ou bien se marient en des points d'orgue sans fin; et l'on est pris par le mouvement de ces constellations qui tournent lentement en des polyphonies de rythme asymétrique d'une subtilité et d'une force très neuves, même si la dernière séquence où s'échelonnent les tubas d'un contrepoint un peu trop serré parait plus contestable.
    On retrouvait ensuite la Messe de Liverpool, où le travail lettriste et la monotonie des psalmodies sépulcrales gardent un caractère trop volontaire qui cependant ne doit pas cacher une certaine force explosive du langage avec, dans ces dissections et éructations, comme une recherche de la violence originale du Kyrie grec ou du Sanctus juif.
    Enfin Ceremony III déployait son effrayante puissance sonore et les grandes incantations de Spooky Tooth, dégagées des interludes souvent interminables qui les noyaient à l'Olympia. Celles-ci prennent une force rituelle plus intense dans leur mariage de pop'music et d'expression religieuse spontanée, à la manière des spirituals, auquel les « procédés » et inventions électroniques de Pierre Henry donnent une frappe souvent admirable.
    Collection Textes
  • Gymkhana-Anne Rey.pdf

    Date 2002
    Collection Textes
  • Fragments pour Artaud- Anne Rey.pdf
  • Lumieres par Weyergans.pdf
  • Texte Bejart - Variations pour une porte et un soupir.jpg

    Texte inclus dans le programme du Béjart Ballet Lausanne au Théâtre national de Chaillot pour le ballet Variations pour une porte et un soupir du 18 au 22 octobre 1995, salle Jean Vilar.
    Collection Textes
  • Cher Pierre,
    J’ai enfin pu écouter « Fanfare et arc-en-ciel », et les deux mots qui me sont venus sont « beau » et « réjouissant ».
    Réjouissant car cette introduction en fanfare l’est réellement, réjouissante. Comme lorsque le générique démarre dans la salle obscure et que l’on est impatient que le film commence…
    Réjouissant car elle apporte le sourire, l’envie de connaître la suite, l’envie de vous suivre dans votre univers, dans vos inventions, dans votre liberté, dans votre humour discret aussi.
    Réjouissant car cette fanfare revient en respirations, en sous-texte, en ponctuations qui replacent l’écoute dans un champ où tout est possible…
    Réjouissant pour moi car cette ouverture me paraît idéale pour le projet de « Concert pour le temps présent ».
    J’aime aussi beaucoup l’introduction de la version longue, et c’est d’ailleurs l’occasion de vous dire que je vous trouve très juste dans vos choix pour la version longue et pour la version courte. Vous avez parfaitement compris ce qu’il nous fallait pour notre spectacle. Et votre maîtrise des permutations nécessaires de mouvements selon les versions est aussi impressionnante. « Beau », et c’est bien sûr l’essentiel, beau pour de multiples raisons.
    C’est une belle œuvre car elle établit un pont incroyable entre votre travail d’aujourd’hui, si actuel, si ancré dans le présent, voire visionnaire, et tout le travail de création de sons des années 50/60. C’est un plaisir incroyable de retrouver les larsen, les sons de piano préparé dans cette composition d’aujourd’hui. Comme une œuvre contemporaine jouée sur instruments anciens, pour le plaisir du timbre, inimitable.
    Beau car le découpage de votre composition, dans les deux versions, respire notre époque tout en atténuant ses défauts. Les mouvements sont à la fois courts, créent une dynamique d’écoute sans cesse renouvelée, tout en nous permettant de prendre le temps de rentrer dans vos matières sonores si riches.
    Un immense merci pour cette création double qui me stimule énormément pour la suite du projet. J’ai hâte de l’entendre sur un orchestre de haut-parleurs, hâte que vous nous la fassiez découvrir réellement à Metz au mois de mars prochain.
    Date 2014
    Collection Textes
Format de sortie

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