Pierre Henry

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  • Journal de mes sons

    Nouvelle édition d'un texte essentiel de 1979 pour cerner la pensée de Pierre Henry : une biographie musicale au sens du journal intime et de l'autobiographie.
    Il s’agit d’un livre augmenté d’une écoute. Plus qu’une lecture, c’est aussi la version musicale de trente-cinq séquences du ‘Journal de mes sons’ , qui dans sa version française est lu par Florence Delay.
    Traduit en anglais pour la première fois par Christine North & John Dack.

    Date 2023
    Collection Textes
  • Pour-penser-a-une-nouvelle-musique-PH.pdf

    Il faut détruire la musique. Elle ne correspond plus à rien pour nous dans la mesure où elle doit être HARMONIE DES SPHÈRES. Dans la mesure où le sacré s’est transporté de l’Absolu jusque dans la vie elle-même, la musique doit se transporter de la sphère de l’art (musicalement parlant) dans le domaine de l’angoisse sacrée.

    Si les conventions musicales, l’harmonie, la composition, les règles, les nombres, le côté mathématique et les formes avaient un sens par rapport à un Absolu, aujourd’hui la musique ne peut en avoir que par rapport aux cris, au rire, au sexe, à la mort. Tout ce qui nous met en communication avec le cosmique, c’est-à-dire avec la matière vivante des mondes en feu. Il faut prendre immédiatement une direction qui mène à l’organique pur. A ce point de vue, la musique a été beaucoup moins loin que la poésie ou la peinture. Elle n’a pas encore osé se détruire elle-même pour vivre. Pour vivre plus fort comme le fait tout phénomène vraiment vivant. Cela ne veut pas dire : écarter toute règle, toute rigueur ou toute forme, mais pas d’autres règles que celles visant à l’efficacité. Je crois que l’appareil enregistreur est actuellement le meilleur instrument du compositeur qui veut réellement créer par l’oreille et pour l’oreille. Si nous voulons lutter contre la mécanique, il faut employer des méthodes mécaniques, ainsi la machine se retournera contre elle-même. Un son enregistré est instantanément détruit en tant que machine.
    Le Mythe du Moderne n’existe plus. Les bruits seront supprimés. Ils deviendront désincarnés, désignifiés et comme sacralisés.
    Alors ce sera peut-être la musique concrète, la musique du VIVANT et du SOLEIL.
    Date 1947
    Collection Textes
  • Dieu, Victor Hugo, Pierre Henry

    Adaptation du texte inachevé de Victor Hugo par Pierre Henry, pour la création du théâtre sonore Dieu.
    Collection Textes
  • La maison de sons de Pierre Henry

    Réalisé conjointement par le photographe norvégien Geir Egil Bergjord et Pierre Henry, ce livre invite à pénétrer dans la maison du quartier de Picpus à Paris où le compositeur s’est établi depuis 1971 et à parcourir pièce après pièce cet endroit magique, une « maison de sons » tout à la fois lieu de vie, laboratoire musical et atelier d’artiste. Sur tous les murs, dans les escaliers, la cuisine, la bibliothèque ou la chambre à coucher court une multitude d’objets et de « peintures concrètes », écho ou contrepoint plastique aux pièces sonores en gestation. Un univers.
    Collection Textes
  • Pierre Henry  : Le son, la nuit

    Pierre Henry (1927-2017), pionnier des musiques électroniques, retrace l’ensemble de son œuvre dans ces entretiens menés par Franck Mallet entre 1995 et 2016 : des objets sonores de son enfance à la naissance de la musique concrète dans le Paris d’après-guerre, des premiers opus au succès de Messe pour le temps présent, sans compter ses innombrables collaborations avec des chorégraphes, cinéastes, écrivains, plasticiens... Explorateur insatiable de nouvelles sensations musicales, œuvrant nuit et jour sur ses consoles et dans le dédale de ses archives sonores pour faire vivre le son «éternellement», Pierre Henry laisse une marque indélébile dans l’histoire de la musique.
    Collection Textes
  • Journal de mes sons

    Le manuscrit original du Journal de mes sons, établi en 1979 d'après des entretiens avec Anne Rey, est paru une première fois en 1996 aux éditions Séguier. Il est réédité aux éditions Actes Sud en 2004.
    Collection Textes
  • livre Pierre Henry de Michel Chion

    Actualisant un ouvrage paru pour la première fois en 1980, cette nouvelle édition retrace plus de cinquante ans dans la carrière d?un des plus célèbres compositeurs français du siècle. Associé par le fondateur de la musique concrète, Pierre Schaeffer, aux premiers pas du genre, en 1949, Pierre Henry n?a cessé depuis de donner à cette musique un souffle et une ambition qu?on ne lui soupçonnait pas au départ, en construisant un ensemble colossal et varié d?oeuvres qui continuent de toucher tous les publics et toutes les générations. Si ses collaborations avec Maurice Béjart (Le Voyage, La Messe pour le temps présent) ont aidé à faire connaître son nom, et s?il fut un des premiers musiciens (dès les années 60) à travailler avec des peintres et des plasticiens, il est aussi un créateur fécond d?oeuvres pour le concert et le disque, qui n?hésitent pas à s?attaquer aux grands thèmes ? la vie biologique, la mort, le sacré, la place de l?homme sur la terre ?, parfois en « collaboration » posthume avec Jean l?Evangéliste ou Victor Hugo, voire avec Beethoven. Il a aussi créé un « son » aussi personnel et reconnaissable que ceux des plus fameux musiciens de jazz, et imposé un univers d?une ampleur cosmique, un véritable monde où l?archaïque et le mythique côtoient le familier, et qui chante les émerveillements, les espoirs et les hantises de notre époque.
    Collection Textes
  • catalogue Pierre Henry l œuvre

    Ce catalogue de 396 pages est conçu de façon chronologique, par périodes et par studios. Il donne à voir, à travers les notices de chaque pièce et ses corollaires, la progression technique et le foisonnement créatif de cette recherche insatiable, source d'une œuvre ouverte et infinie.
    Le catalogue a reçu le Prix du Jury France Musique-Claude Samuel 2022.

    Sommaire
    Laurent Bayle : Pierre Henry
    Sabrina Valy : Ici commence le livre
    Cyrille Delhaye : Un répertoire d’œuvres et de sons
    Pierre Henry : Mes 263 titres de boucles préférées

    Avant 1949 1927–1949
    Studio d’essai 1949–1958
    Studio zéro 1958–1959
    Apsome 1 1959–1964
    Apsome 2 1964–1971
    Apsome 3 1971–1982
    Son/Ré 1982–1996
    Maison de sons 1996–2017

    Listes par genre
    Musique de ballet
    Musique de chambre et œuvres pour piano
    Œuvres de concert
    Musique composée pour le disque
    Musique pour catalogue dramatique et de stock
    Musique de film
    Films dont la bande sonore comprend des œuvres préexistantes de Pierre Henry
    Musique pour plasticien
    Musique publicitaire
    Musique radiophonique
    Musique de scène
    Musique urbaine
    Travaux alimentaires
    Ébauches et projets d’œuvres
    Index des œuvres
    Index des personnes
    Sources des textes
    Remerciements
    Collection Textes
  • Granulométrie

    Texte du livret du coffret Mix Pierre Henry 01.0
    Date 1999
    Collection Textes
  • Victor Hugo, Dieu et Pierre Henry

    Textes écrits par Brigitte et Jean Massin pour le programme du spectacle "Dieu" donné au Palais des Arts à Paris du 26 septembre au 28 octobre 1978.
    Date 1978
    Collection Textes
  • 1950-01-deux coups de sonnette- manuscrit.pdf

    Texte écrit pour un projet radiophonique non abouti, et qui a inspiré "Une maison de sons "[1989] et "2 coups de sonnette " [2005]
    Date 1950
    Collection Textes
  • Une phrase d’ltalo Calvino, « L’imagination est un lieu où il pleut » cerne assez bien l’effet jubilatoire provoqué par ce fragment inédit. L’Eau : une œuvre où il pleut beaucoup en effet, et où l’imagination est au pouvoir. Couronnement d’une Hugosymphonie longue de cinq heures, créée pour le centenaire de la mort du poète en décembre 1985, ce fragment est un tout. A prendre ou à laisser. De ces machines au moteur gonflé, dont on ne descend qu’après arrêt complet. Un morceau de bravoure, donc, où l’artisanat au zénith se met au service d’idées incongrues, cocasses, presque drolatiques. Un suspense haletant à partir d’une simple goutte d’eau et de sa petite musique. Un régal d’inventions et de maîtrise technique. Couleurs irisées de l’orchestration. Régularité implacable du rythme (la goutte d’eau s’écoulant imperturbablement au premier plan). Progression irrésistible par amplification de la masse sonore et complexification des fonds en mouvement, jusqu’au dénouement, forcément jaillissant. On pense – mais oui ! – à Maurice Ravel et à son génial Boléro. Outre notre petite goutte et ses innombrables doubles apparaissent, en ordre de volumes croissant, bulles et glouglous, pluies, jets, maelstroms, chutes du Niagara. L’auteur a baladé des micros dans toute sa maison pour capter tout ce qui coule, avant de remaquiller ses sons par grossissements et réverbérations. Mis en perspective, ils construisent un espace cohérent, cadré une fois pour toutes, à l’arrière du clip-clap en gros plan. Actrice principale, la petite goutte est aussi le sablier du temps dans un déroulement d’évènements non anecdotiques, solidement soudés par des liaisons et des points de suspension. C’est le rôle alloué à des sons électroniques, matières fluides et toujours en mouvement qui, dans le grave, résonnent à mi-parcours comme des trombones et qui se répandent paresseusement, comme des montres molles. La forme répétitive était déjà celle de Spirale, quatre minutes et vingt-deux secondes d’expansion continue jaillies d’un trait, dans les années 50. C’est peu dire qu’elle a trouvé ici son épanouissement. Et comme toujours, l’auditeur a le choix de son imagerie intérieure. Affaire de plomberie ? Montée du désir ? Grands chantiers aquatiques ? « De l’eau intériorisée », répond l’auteur.
    Date 2001
    Collection Textes
  • la grande apocalypse - Anne rey - Le Monde - 1990-12-22 - PHBR 86 .pdf

    Révision, vingt-deux ans après, d'une œuvre clé du répertoire électroacoustique
    Le musicien " concret ", celui qui travaille sur des sons enregistrés, stockés, puis coupés-collés, a d'évidentes parentés avec le cinéaste. Compositeur " concret " (le premier à l'avoir été avec Pierre Schaeffer), Pierre Henry a travaillé pour le cinéma (musiques pour Grémillon, pour la publicité et, tout récemment, pour Berlin, symphonie d'une grande ville, de Walter Ruttmann (1). Il est un assidu des salles obscures : de Bresson à Spielberg, l'image montée l'inspire.
    C'est peut-être pour cela que Pierre Henry offre aujourd'hui, sur le modèle des " versions longues " du Grand bleu ou de Lawrence d'Arabie, la " version grande " d'une de ses œuvres anciennes, cette Apocalypse de Jean dont la gestation commença dès 1960, dont la création, lors d'une soirée-marathon, reste inscrite dans les souvenirs de 1968, dont la version originale a été fixée sur disques numériques (2), et dont la version définitive a été créée le 18 décembre à l'Auditorium des Halles, commande du Festival d'art sacré.
    Un saut qualitatif
    La ressemblance avec le cinéma s'arrête là. Car cette " grande" Apocalypse n'a pas été fabriquée avec des chutes recyclées ; elle n'a rien d'un travail de restauration ; c'est bien de révision qu'il s'agit : les séquences ajoutées _ certain Passage de grenouilles particulièrement coassant ; un beau portrait sonore de Jérusalem _ ont été composées cette année. Toute la fin du récit biblique, à partir de l'Agneau, a d'autre part été remaniée. Les visions horrifiées, pétrifiées, grotesques, grinçantes, qui autrefois dominaient dans l'Apocalypse, se trouvent ainsi contrebalancées désormais par l'espoir de tendresse et de vie que constitue l'ultime Fleuve d'eau vive. Dans son minutage global, l’œuvre reste inchangée.
    Par son nouveau dispositif scénique, elle subit néanmoins un saut qualitatif. La prophétie de Jean est mise, maintenant comme autrefois, dans la bouche d'un récitant. Mais, entièrement enregistrée dans la version de 1968, la voix de Jean Négroni avait alors deux fonctions. D'une part, elle énumérait, sur le ton de la narration, le titre des séquences, la nature des fléaux promis par le prophète ; nimbée d'écho, amplifiée, mêlée aux sons concrets, elle servait d'autre part d'élément dramatique en soi, de parole musicalisée.
    La « grande » Apocalypse en rajoute de ce côté. Elle fait s'affronter le Négroni enregistré il y a vingt-deux ans et le Négroni d'aujourd'hui, en scène, mêlant au micro sa voix de récitant survivant à ses voix enregistrées d'antan. Changés en monstrueuses marionnettes, sous les voiles noirs des Bread and Puppett, les haut-parleurs participent à leur façon - immobile, mais pas muette - à cette théâtralisation.
    Monstrueuses marionnettes
    La Grande, l'Apocalypse impose donc désormais ses lumières, ses images, son personnage principal. On pouvait la préférer «petite» : pure musique, théâtre pour l'esprit. Moins grandiloquente, moins équilibrée, moins spectaculaire, moins écrasée par la présence du verbe.
    Rappelons que le musicien s'était amusé, dans un Livre des morts égyptien, créé l'an dernier, à composer « à l'ancienne» sur du matériel ultramoderne. Réalisé dans les studios de !'IRCAM, enregistré dans la foulée en toute fidélité numérique, disponible désormais sur CD (3), ce Livre magnifique pourrait être l'accompagnement désigné pour l'exposition « Mémoire d’Égypte » présentée actuellement à la Bibliothèque nationale ( dont le fond sonore laisse à désirer). Distribuée en sept «moments», l’œuvre reflète parfaitement, dans une accumulation de sons machiniques et industriels, le passage par étapes forcées de la mort à la vie éternelle, tel qu'on le voit représenté sur les papyrus. Pierre Henry s'y souvient opportunément de son lointain passé de percussionniste, des rythmes jazzés qu'il aimait dans les années 50, du piano préparé sur lequel il improvisait : d'un passé en partie antérieur à ses premières productions de musicien concret (4).
    ANNE REY
    (1) On reverra ce film muet de 1927, assorti de sa musique originale pour deux pianos et deux percussions (signée Edmund Meisel) les 30 et 31 janvier à !'Auditorium du Louvre, dans le cadre d'une série « Cinéma muet en concert».
    (2) L 'Apocalypse de Jean, version originale : deux disques compacts Philips.
    (3) Le Livre des morts égyptien : un CD Mantra-Votre musique.
    (4) A paraître en janvier : Mes années50, soit les œuvres composées de l'après-guerre à 1960, aux trois quarts inédites (trois CD Mantra-Votre musique).
    Date 1990
    Collection Textes
  • Créé il y a quinze ans « chez lui 2 », dans sa « maison de sons », à Paris (2002), le Dracula électro de Pierre Henry se voulait comme un « film sonore » sans images, mais guidé par des souvenirs des films d’épouvante, en particulier ceux de Terence Fisher et « le Nosferatu de Murnau, subjugué par la splendeur de son noir et blanc et le mystère de ses intertitres. » Fidèle partenaire du sculpteur de sons, le Théâtre de l’Athénée a eu la bonne idée de l’associer à ses artistes en résidence, Le Balcon et son chef Maxime Pascal, tous deux pratiquant le son amplifié. Puisque l’orchestre de la Tétralogie de Wagner avait été sur-vitaminé par Pierre Henry pour Dracula, pourquoi ne pas proposer une version mixant l’original de la bande électroacoustique et un orchestre live, d’une vingtaine de musiciens ? Adapté par Othman Louati (compositeur) et Augustin Muller (réalisateur informatique), voilà donc Dracula qui change de main, ou plutôt de peau. Les coups de ciseaux dans la mélodie wagnérienne, comme les multiples procédés de transformation et d’altération chers au compositeur, mixés au fantastique des bruits de la nature (orage, pluie, cris d’animaux), se parent d’un nouvel habit, grâce à cet orchestre qui, toutes ailes déployées, soulève une harmonie robuste, rehaussée de percussion, d’un violoncelle et d’un piano. Beaucoup de poésie du côté des vents, qui s’évertuent à faire chanter le leitmotiv wagnérien tant bousculé, tandis que le son concret renforce le mystère, avec ses cris d’épouvante issus du Grand-Guignol et sa cohorte de grincements sinistres. Une fois encore, Maxime Pascal, grand ordonnateur de cette messe sauvage, triomphe au pupitre du Balcon qui, en réunissant au sein de son collectif des artistes venus d’horizons divers, se situe dans la descendance des Catalans de La Fura dels Baus. Ni Wagner ni Pierre Henry n’étaient trahis ce soir-là, bien au contraire… mais délicieusement vampirisés.
    Collection Textes
  • apparitions concertees - Anne Rey - Pierre Henry dans le vif du son.pdf

    Texte pour l'exposition des affiches lacérées de Jacques Villeglé "Le grand mix", et la création musicale de Pierre Henry "Appartitions concertées", au Confort moderne, Poitiers, du 17 avril au 28 août 1999
    Date 1999
    Collection Textes
  • Orphee-article Carrefour - antoine Golea.pdf
  • Sahara d-aujourd-hui-Jean Delamotte-France soir.pdf
  • Nijinsky - Bejart.pdf
  • La Reine Verte - Bejart.pdf
  • Le Voyage - Bejart.pdf
  • Orphee - Bejart.pdf
  • Coexistence- Michel Chion.pdf
  • 2-Entité-texte Anne Rey.pdf

    "Le mot Entité pourrait ici s’écrire au pluriel. Car ces six petites minutes de comédie électronique donnent à entendre le dialogue de deux “êtres” bien distincts : l’un plus masculin, s’époumonant à des blablas de plus en plus éperdus ; l’autre, effilochée et languide, ronde et féminine, d’une présence plus voilée au second plan. C’est pourtant à elle que revient le dernier mot. Dans cette pièce est à nouveau prouvée la capacité de cette musique à fabriquer un (plusieurs) “objet considéré comme un être doué d’unité matérielle, alors que son existence objective n’est fondée que sur des rapports” (définition du terme “entité” dans le petit Robert). Contemporaine des Investigations sur les “vides” du peintre Jean Degottex, Entité, créée en 1959, était la contribution de Pierre Henry à un concert de musique contemporaine qu’il avait organisé lui-même et auquel participait notamment la cantatrice Cathy Berberian."
    Anne Rey (2002)
    Date 2002
    Collection Textes
  • Coexistence-Inestigations - Claude Riviere.pdf
  • Interieur- Exterieur - Anne Rey.pdf
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