Pierre Henry

Cette page spécifiquement dédiée à la recherche de contenus permet :

- d’effectuer une requête depuis la barre de recherche plein texte. La page de résultats obtenus peut être affinée en activant les critères de la colonne de droite, et en triant les résultats par date ou par titre,

- de naviguer directement dans les notices en sélectionnant un ou plusieurs critères dans la colonne de droite.

Parcourir les contenus (6 au total)

  • Ballet de Maurice Béjart chorégraphié et mis en scène d’après la composition sonore du film "Astrologie ou Le Miroir de la vie" [1952] de Jean Grémillon.

    Date 1955
    Collection Musiques d’application
    Genre de l'oeuvre Musiques de ballet, Oeuvres de concert
  • Batterie fugace

    Cette pièce fait partie de la série radiophonique Le Microphone bien tempéré [1950-1951]. À partir de 4 percussions de tambour, élément sonore initial, Pierre Henry crée des sonorités filées, modelées sur un graveur à vitesse variable. Soutenues, elles s’épanouissent en panaches dans un espace sonore où il les projette en relief. C’est aussi la première fois que Maurice Béjart chorégraphie et danse sur une musique de Pierre Henry, le 12 mai 1955, salle Iéna à Paris.

    Date 1950
    Collection Oeuvres musicales
    Genre de l'oeuvre Oeuvres de concert, Musiques de ballet
  • Date 1956
    Collection Musiques d’application
    Genre de l'oeuvre Musiques de ballet
  • Tessa Beaumont dans Haut-Voltage - photo Harry Meerson

    Cette œuvre est issue d’une commande de Maurice Béjart pour un ballet écrit sur l’argument de Pierre Rhallys, où la musique de Pierre Henry complète des séquences instrumentales composées par Marius Constant. Pierre Henry rassemble ensuite sa musique dans des versions de concert et discographiques. Le titre de l’œuvre fait référence au livret : sur fond de magie noire, un jeune homme électrocute accidentellement la femme qu’il aime, puis meurt de désespoir après s’être vengé de la magicienne ayant causé l’accident. Composées en janvier 1956, les continuités musicales de Pierre Henry mêlent pour la première fois des sons acoustiques et électroniques dans une œuvre fixée sur bande magnétique. Les sons électroniques sont créés sans oscillateurs ni générateurs, mais en détournant l’usage de micros contacts par des processus de feed-back. Dans cette œuvre, les sons font l’objet d’un travail d’orchestration important : s’articulent en de courtes séquences des sons instrumentaux (orgue, orchestre, piano préparé) et des captations de foules, de voix, mêlés à des sons électroniques.

    Date 1956
    Collection Oeuvres musicales
    Genre de l'oeuvre Musiques de ballet
  • Patrick Belda et Marie-Claire Carrié - Photo Serge Lido

    Voyage au cœur d’un enfant est une adaptation du Concerto des ambiguïtés [1950] pour un ballet de Maurice Béjart. L’argument transpose le mythe d’Œdipe : un enfant se dédouble en rêve et son âme s’incarne en sauterelle. Témoin d’une scène d’amour entre ses parents, son âme sauterelle tue son père pour séduire sa mère. À son réveil l’enfant ne voit plus ses parents de la même manière.

    Date 1955
    Collection Oeuvres musicales
    Genre de l'oeuvre Musiques de ballet
  • Maurice Béjart et Michèle Seigneuret - photo Serge Lido

    Cette version en 9 mouvements chorégraphiée par Maurice Béjart est l’œuvre fondatrice du style béjartien. Il utilise à la fois la musique et l’argument de la Symphonie pour un homme seul [1950] pour créer le premier ballet de musique concrète, donné tout l’été au théâtre de l’Étoile à Paris. Ce ballet fait le tour du monde, faisant connaître plus largement la musique concrète.

    Date 1955
    Collection Oeuvres musicales
    Genre de l'oeuvre Musiques de ballet
Format de sortie

atom, dc-rdf, dcmes-xml, json, omeka-xml, rss2

Affiner votre recherche