Pierre Henry

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Parcourir les contenus (915 au total)

  • Affiche de l inauguration du studio Pierre Henry au musée de la musique
  • Dieu, Victor Hugo, Pierre Henry

    Adaptation du texte inachevé de Victor Hugo par Pierre Henry, pour la création du théâtre sonore Dieu.
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  • La maison de sons de Pierre Henry

    Réalisé conjointement par le photographe norvégien Geir Egil Bergjord et Pierre Henry, ce livre invite à pénétrer dans la maison du quartier de Picpus à Paris où le compositeur s’est établi depuis 1971 et à parcourir pièce après pièce cet endroit magique, une « maison de sons » tout à la fois lieu de vie, laboratoire musical et atelier d’artiste. Sur tous les murs, dans les escaliers, la cuisine, la bibliothèque ou la chambre à coucher court une multitude d’objets et de « peintures concrètes », écho ou contrepoint plastique aux pièces sonores en gestation. Un univers.
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  • Pierre Henry  : Le son, la nuit

    Pierre Henry (1927-2017), pionnier des musiques électroniques, retrace l’ensemble de son œuvre dans ces entretiens menés par Franck Mallet entre 1995 et 2016 : des objets sonores de son enfance à la naissance de la musique concrète dans le Paris d’après-guerre, des premiers opus au succès de Messe pour le temps présent, sans compter ses innombrables collaborations avec des chorégraphes, cinéastes, écrivains, plasticiens... Explorateur insatiable de nouvelles sensations musicales, œuvrant nuit et jour sur ses consoles et dans le dédale de ses archives sonores pour faire vivre le son «éternellement», Pierre Henry laisse une marque indélébile dans l’histoire de la musique.
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  • Journal de mes sons

    Le manuscrit original du Journal de mes sons, établi en 1979 d'après des entretiens avec Anne Rey, est paru une première fois en 1996 aux éditions Séguier. Il est réédité aux éditions Actes Sud en 2004.
    Collection Textes
  • livre Pierre Henry de Michel Chion

    Actualisant un ouvrage paru pour la première fois en 1980, cette nouvelle édition retrace plus de cinquante ans dans la carrière d?un des plus célèbres compositeurs français du siècle. Associé par le fondateur de la musique concrète, Pierre Schaeffer, aux premiers pas du genre, en 1949, Pierre Henry n?a cessé depuis de donner à cette musique un souffle et une ambition qu?on ne lui soupçonnait pas au départ, en construisant un ensemble colossal et varié d?oeuvres qui continuent de toucher tous les publics et toutes les générations. Si ses collaborations avec Maurice Béjart (Le Voyage, La Messe pour le temps présent) ont aidé à faire connaître son nom, et s?il fut un des premiers musiciens (dès les années 60) à travailler avec des peintres et des plasticiens, il est aussi un créateur fécond d?oeuvres pour le concert et le disque, qui n?hésitent pas à s?attaquer aux grands thèmes ? la vie biologique, la mort, le sacré, la place de l?homme sur la terre ?, parfois en « collaboration » posthume avec Jean l?Evangéliste ou Victor Hugo, voire avec Beethoven. Il a aussi créé un « son » aussi personnel et reconnaissable que ceux des plus fameux musiciens de jazz, et imposé un univers d?une ampleur cosmique, un véritable monde où l?archaïque et le mythique côtoient le familier, et qui chante les émerveillements, les espoirs et les hantises de notre époque.
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  • catalogue Pierre Henry l œuvre

    Ce catalogue de 396 pages est conçu de façon chronologique, par périodes et par studios. Il donne à voir, à travers les notices de chaque pièce et ses corollaires, la progression technique et le foisonnement créatif de cette recherche insatiable, source d'une œuvre ouverte et infinie.
    Le catalogue a reçu le Prix du Jury France Musique-Claude Samuel 2022.

    Sommaire
    Laurent Bayle : Pierre Henry
    Sabrina Valy : Ici commence le livre
    Cyrille Delhaye : Un répertoire d’œuvres et de sons
    Pierre Henry : Mes 263 titres de boucles préférées

    Avant 1949 1927–1949
    Studio d’essai 1949–1958
    Studio zéro 1958–1959
    Apsome 1 1959–1964
    Apsome 2 1964–1971
    Apsome 3 1971–1982
    Son/Ré 1982–1996
    Maison de sons 1996–2017

    Listes par genre
    Musique de ballet
    Musique de chambre et œuvres pour piano
    Œuvres de concert
    Musique composée pour le disque
    Musique pour catalogue dramatique et de stock
    Musique de film
    Films dont la bande sonore comprend des œuvres préexistantes de Pierre Henry
    Musique pour plasticien
    Musique publicitaire
    Musique radiophonique
    Musique de scène
    Musique urbaine
    Travaux alimentaires
    Ébauches et projets d’œuvres
    Index des œuvres
    Index des personnes
    Sources des textes
    Remerciements
    Collection Textes
  • Inspiré du livre éponyme qui rassemble des pensées extraites de tous les ouvrages de l'auteur allemand Johann Paul Friedrich Richter (1763-1825) dit Jean Paul.
    Collection Ébauches et projets d’œuvres
  • Collection Ébauches et projets d’œuvres
    Genre de l'oeuvre Oeuvres de concert
  • Créé il y a quinze ans « chez lui 2 », dans sa « maison de sons », à Paris (2002), le Dracula électro de Pierre Henry se voulait comme un « film sonore » sans images, mais guidé par des souvenirs des films d’épouvante, en particulier ceux de Terence Fisher et « le Nosferatu de Murnau, subjugué par la splendeur de son noir et blanc et le mystère de ses intertitres. » Fidèle partenaire du sculpteur de sons, le Théâtre de l’Athénée a eu la bonne idée de l’associer à ses artistes en résidence, Le Balcon et son chef Maxime Pascal, tous deux pratiquant le son amplifié. Puisque l’orchestre de la Tétralogie de Wagner avait été sur-vitaminé par Pierre Henry pour Dracula, pourquoi ne pas proposer une version mixant l’original de la bande électroacoustique et un orchestre live, d’une vingtaine de musiciens ? Adapté par Othman Louati (compositeur) et Augustin Muller (réalisateur informatique), voilà donc Dracula qui change de main, ou plutôt de peau. Les coups de ciseaux dans la mélodie wagnérienne, comme les multiples procédés de transformation et d’altération chers au compositeur, mixés au fantastique des bruits de la nature (orage, pluie, cris d’animaux), se parent d’un nouvel habit, grâce à cet orchestre qui, toutes ailes déployées, soulève une harmonie robuste, rehaussée de percussion, d’un violoncelle et d’un piano. Beaucoup de poésie du côté des vents, qui s’évertuent à faire chanter le leitmotiv wagnérien tant bousculé, tandis que le son concret renforce le mystère, avec ses cris d’épouvante issus du Grand-Guignol et sa cohorte de grincements sinistres. Une fois encore, Maxime Pascal, grand ordonnateur de cette messe sauvage, triomphe au pupitre du Balcon qui, en réunissant au sein de son collectif des artistes venus d’horizons divers, se situe dans la descendance des Catalans de La Fura dels Baus. Ni Wagner ni Pierre Henry n’étaient trahis ce soir-là, bien au contraire… mais délicieusement vampirisés.
    Collection Textes
  • Orphee-article Carrefour - antoine Golea.pdf
  • Coexistence- Michel Chion.pdf
  • Coexistence-Inestigations - Claude Riviere.pdf
  • apocalypse de jean - critique de Nussac.pdf

    " Le "film" de l'Apocalypse passe devant les yeux avec un réalisme un peu naïf d'un tympan roman, le baroque d'un tableau de Bosch ou l'au-delà fantastique de Lovecraft ... C'est ainsi que la musique de Pierre Henry est plus vivante qu'intellectuelle. "
    Collection Textes
  • apocalypse de jean - critique Alain.pdf

    " Il y a de nombreuses pages dont l'horreur, la splendeur, ou la violence évoquent les plus extraordinaires images du film "2.001" en y ajoutant cet irrésistible pouvoir d'investissement de la sensibilité qui est le propre de la musique. "
    Collection Textes
  • apocalypse de jean - critique Hamon.pdf

    " La réussite polyphonique de cette illustration poétique des visions de l'apôtre tient du plus merveilleux environnement sonore qui se puisse rêver. Et puis une émotion profonde, humaine, captivante informe constamment cet oratorio électronique, un sens grandiose de la tragédie de l'homme, de sa rédemption possible, le porte à l'étage de l'universel et du permanent. Cette œuvre nous concerne, nous le sentons d'instinct, nous en subissons l'influx, la quête, l'élan. Pierre Henry le solitaire n'est plus seul alors. Il tient le monde dans ses filets et nous, captifs, grouillants, scintillons à sa lumière. "
    Collection Textes
  • apocalypse de jean - critique Cadieu.pdf

    « L'Apocalypse de Jean s'apparente en beauté méditative, en violence, en complexité timbrique, au "Voyage" de Pierre Henry. Rythmes aussi étonnants qui vous roulent comma la vague. Lyrisme toujours abrupt avec d'atroces douceurs et de tendres meurtres, toujours dans les paroxysmes des couleurs crispées, mais toujours aussi dans ce long, interminable respir qui porte et jette au creux des abimes, qui hausse et fait planer, qui inquiète, oui, toujours ... Les figures bizarres, les" yeux partout ", le surréalisme du texte trouvent la voix exacte dans cette musique. L’Orient, l'Asie, le Moyen Age sont broyés dans cette œuvre. Pierre Henry est un créateur, un poète. Comme les prophètes, il a ses délires. »
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  • Granulometrie-Anne Rey.pdf
  • Fantasia - Chion.pdf

    Morceau tiré du Microphone bien tempéré qui regroupe en 1950 un ensemble ouvert de quinze courtes pièces d’exploration et de démonstration des possibilités instrumentales de la musique concrète. Les sons de provenance instrumentale, joués par le compositeur, y tiennent la vedette : le piano préparé en tête, et derrière lui, les percussions. La Fantasia est aussi une musique-voyage, débutant dans un beau climat d’orage et de pluie, intéressante pour son époque par ses recherches d’amalgame et de fusion orchestrale entre des matériaux variés, loin du contrepoint limpide et classique de la Symphonie pour un homme seul.
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  • Micro rouge I et II - Chion.pdf

    Morceaux tirés du Microphone bien tempéré qui regroupe en 1950 un ensemble ouvert de quinze courtes pièces d’exploration et de démonstration des possibilités instrumentales de la musique concrète. Les sons de provenance instrumentale, joués par le compositeur, y tiennent la vedette : le piano préparé en tête, et derrière lui, les percussions. Ces deux Micros rouges , à base de sons de percussions, relèvent de ce que nous appelons une « musique d’aveugle », qu’on dirait créée par un homme qui se cogne dans le noir à toutes sortes de corps résonnants, qu’il tâte du bout de son micro. Le premier Micro rouge est fait d’ondes oscillantes déclenchées comme par hasard dans toutes les directions de l’espace et il est audacieusement informel, sans thème, sans rythmicité, sans évolution. Le second déroule des passages qui fuient, comme vus d’un train, dans un voyage fantomatique qui fait traverser des villes carillonnantes et où rôdent des populations étranges, à peine discernables. Cet art du clair-obscur, pour transcrire le fugitif, le passager, évoque les films muets de Murnau ou d’Abel Gance.
    Collection Textes
  • Dimanche noir 1 et 2 - Chion.pdf

    Morceaux tirés du Microphone bien tempéré qui regroupe en 1950 un ensemble ouvert de quinze courtes pièces d’exploration et de démonstration des possibilités instrumentales de la musique concrète. Les sons de provenance instrumentale, joués par le compositeur, y tiennent la vedette : le piano préparé en tête, et derrière lui, les percussions. Ces deux fascinants Dimanches noirs (qui reprennent le titre d’une composition pour piano de jeunesse) sont basées sur des transmutations de thèmes instrumentaux traditionnelles (Scarlatti, Eddie Warner) qui sont comme dilués, englués dans des matières acoustiques liquides, visqueuses, informelles. Il y a là tout un art de reconstitution d’ambiances oubliées, ramenées d’un temps lointain, de dimanches pluvieux dans un climat étonnamment tangible d’attente, d’ennui et d’enfance mêlées, comme une vieille photo où s’est imprimée l’odeur du passé.
    Collection Textes
  • Tam Tam I à IV - Chion.pdf

    Morceaux tirés du Microphone bien tempéré qui regroupe en 1950 un ensemble ouvert de quinze courtes pièces d’exploration et de démonstration des possibilités instrumentales de la musique concrète. Les sons de provenance instrumentale, joués par le compositeur, y tiennent la vedette : le piano préparé en tête, et derrière lui, les percussions. Les pièces du recueil intégral où l’instrument manipulé tient la première place sont la plupart du temps des galops rythmiques à la Bartok. Nous en retenons surtout les quatre Tam-Tams, pour leur puissance orchestrale (l’instrument étant agrandi et multiplié par la manipulation, et se transformant en usine à sons géante), et pour la beauté des perspectives spatiales que l’on y traverse, en de grands travellings auriculaires très cinématographiques. Ces œuvres nous séduisent par une qualité d’atmosphère très brutale et contrastée, un sens de la catastrophe et de la grandeur qui semble manquer encore de moyens techniques pour se déployer.
    Collection Textes
  • Timbres-durees  - Chion.pdf

    Le projet n'ayant pas été accepté, Pierre Henry se console en assistant Olivier Messiaen dans la réalisation d'une étude de musique concrète d'après une partition de timbres et de durées, comme son titre l'indique. Les sons de base de Timbres-Durées étaient d'une part des percussions (tambour à corde, cymbale chinoise, tam-tam, wood-block, caisse claire frottée avec un balai, etc.) et d'autre part des jets d'eau dont l'auteur attendait beaucoup, et qui le déçurent rythmiquement. Cette déception racontée avec franchise par Messiaen, qui retira d'ailleurs de son catalogue ce qu'il appelait lui-même un «très modeste travail de rvthme », fut celle de beaucoup de musiciens d'écriture qui, comme Boulez ou Jean Barraqué, crurent trouver à l'époque dans la bande magnétique, découpable à merci, un moyen idéal pour réaliser leurs projets sériels. Or, le son fixé a ses lois, ses critères, qui se manient au niveau de l'oreille concrète, cette oreille différente de l'oreille musicale classique, et pour laquelle le haut-parleur n'est pas le simple équivalent d'un «monitor» ou d'un écran de télévision qui retransmet et diffuse, mais un écran de projection qui crée seul ou en orchestre, les lois de son propre espace. Cet espace, que nous appelons l'espace interne … est ici en effet partie intégrante de l'œuvre, les sons ne vivent pas indépendamment de lui. D'autre part, la façon dont dans cette musique les sons peuvent surgir à notre oreille derrière la membrane du haut-parleur est un effet spécifique que le compositeur de musique concrète doit prendre en compte.
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  • Vocalises - Chion.pdf

    Sa seconde étude sérielle, Vocalises, composée en janvier 1952, est un exercice sur les hauteurs et les durées, à partir d'un seul son : une note chantée par une femme sur la syllabe A. Ce bref son a été mis en boucle et transposé, à l'aide du phonogène à clavier chromatique, dans tous les degrés. Les notes obtenues ainsi, dans un registre de quatre ou cinq octaves, ont été montées son par son d'après la partition, écrite dans un style «webernien-frénétique». Vocalises est une espèce de gazouillis ininterrompu, où la voix manipulée accomplit des prodiges de virtuosité et de justesse mais où elle prend aussi dans l'aigu, un timbre de Mickey de dessin animé (donné par l'accéléré) et dans le grave, un timbre caverneux et incolore.
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  • Antiphonie - Chion.pdf

    ANTIPHONIE, 1951
    Toujours dans cette tendance d'un retour au papier à musique, il écrit la partition sérielle d'Antiphonie, une œuvre qui, elle, est réalisée peu après. Cette partition est faite «d'un schéma rigoureux, où les durées sont notées avec précision (en centimètres sur la partition). Deux séries de blocs sonores s'opposent à la façon de I'antiphonie du Moyen Age - d'une part des groupes formés de cellules - c'est-à-dire de courts motifs sonores - en renouvellement continuel; d'autre part, une série rigide de douze sons complexes de timbre, de durée, hauteur et ampleur dissemblables. Le tout est traité de manière systématiquement différente. [ .. .] La construction d'Antiphonie est basée Sur des durées rythmiques en équivalence avec la nature du matériau employé. Chaque son traité a son silence complémentaire ».
    En clair, cette brève musique fait entendre un contrepoint, très lisible, entre une chaîne sonore de sons hétéroclites qui, collés les uns aux autres, forment une ligne brisée imprévisible et agitée, et, d'autre part, de brefs sons haletants, tombant à intervalles irréguliers, entre des silences également imprévisibles. Même s'il est impossible - comme pour toute œuvre sérielle - de suivre le jeu structurel qui a été la base de la partition, on est emporté par un mouvement spasmodique, sauvage, une espèce de swing irrationnel. Pour sa première utilisation systématique du magnétophone (les sons d'Orphée 51 étaient essentiellement des sons de tourne-disques repiqués sur bande), Pierre Henry a joué à fond de son principal apport : le montage. D'autant plus que la vitesse professionnelle de l'époque (76 cm par seconde), permettait, bien avant les « micro-échantillonnages» pratiqués sur l'ordinateur, de monter les sons en dessous même du seuil où l'oreille est à même de discerner deux phénomènes successifs. Mais ce qui rend Antiphonie très vivant, par opposition à d'autres études sérielles (comme Studie 1 de Stockhausen, faite à la même époque), c'est que son matériau sonore de base est très dynamique, il a une vie de son, il n'est pas un vague bruit impersonnel: et d'autre part. que ce jeu plutôt abstrait avec les durées est pulsé par l'utilisation du silence qui fait rebondir les sons, les magnétise et les charge, atomes éparpillés, d'une tension vivante. C'est une des premières œuvres où Pierre Henry manie systématiquement les rythmes irrationnels (d'une périodicité subtilement irrégulière), ce qu'il fera avec un art de plus en plus raffiné dans ses grandes «études rythmiques» des années 70.
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